Documentaire « Vivre avec les vautours gypaètes » à ne pas manquer
Corridors sauvages
En 2050, la planète comptera 9,7 milliards d’habitants. Comment les espèces sauvages s’intègrent-elles dans une Terre de plus en plus colonisée, bétonnée et développée ? Sommes-nous capables de partager des territoires avec d’autres espèces vivantes, et de concilier les besoins de chacun – ce qui pourrait assurer la survie de tous ?
Du désert de Namibie aux montagnes françaises, en passant par le plateau du Népal et les forêts de Roumanie, cette série mondiale explore quatre corridors naturels – encore menacés – pour tenter d’aborder le potentiel de cohabitation pacifique.
Nous vous l’annoncions lors d’un précédent article, voici aujourd’hui le synopsis de l’épisode « Vivre avec les vautours gypaètes » de la série: Corridors sauvages
Dans le sud de la France, la présence de l’homme a conduit à la disparition de nombreuses espèces emblématiques dans un couloir de mille kilomètres reliant les Pyrénées aux Alpes. Après quarante ans de chantiers de réintroduction isolés, naturalistes, scientifiques et villageois cherchent à relier les territoires entre eux pour permettre aux animaux de se déplacer librement.
En augmentant sans cesse son emprise sur les sols, l’homme a rompu les passages naturels par lesquels les animaux circulaient. Tout autour du globe, de bonnes volontés tentent désormais de les restaurer, avec un défi à la clé : cohabiter avec le monde sauvage. Dans le sud de la France, la présence de l’homme a conduit à la disparition de nombreuses espèces emblématiques dans un couloir de mille kilomètres reliant les Pyrénées aux Alpes. Après quarante ans de chantiers de réintroduction isolés, naturalistes, scientifiques et villageois cherchent maintenant à relier les territoires entre eux pour permettre aux animaux de se déplacer librement. Mais une espèce ne parvient pas encore à s’y fixer : le gypaète barbu.
Cet épisode suit la réimplantation du plus grand vautour d’Europe dans ce vaste corridor écologique.
Pour visionner un extrait c’est ici
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